Un sillage sur la mer

Revue de presse

Ce qu'ils en disent...

Chorus : « … Talents conjugués, entrelacs de voix par-delà les langages, invitation à l' envol sur la musique, l'imaginaire et l'humour, CATIMINI s'en vient et on décolle… »

Midi Libre : « … Ce groupe vocal européen est à voir et à écouter illico … »

L'Hérault du jour : « … C'est gai, c'est beau, imaginatif. enfin quoi on ne se lasse pas de ces "chansons à voir" ».

La Gazette de Montpellier : « … des tubes a capella… »

Midi Libre : « … Le groupe communique une joie venue des quatre coins d'Europe, respire l'air du large, fleure bon l'iode et communique le rire des mouettes. Vocalement et musicalement, ils sont au top.… »

Chorus Les cahiers de la chanson.
Cinq voix qui voyagent

Talents conjugués, entrelacs de voix par-delà les langages, invitation à l' envol sur la musique, l'imaginaire et l'humour, Catimini s'en vient ... et on décolle. C'est l'histoire d'un arbre à (au moins) cinq fruits. Cinq saveurs multiples qui, par une alchimie superbe, distillent un même parfum. (…) Les cinq fruits sont quatre femmes et un homme : elles essentiellement chanteuses, lui, plutôt comédien : Stéphanie Liesenfeld (complice à l'occasion de Christine Costa), Janneke Muller (idem, mais de Michèle Bernard), Isabelle Morelli, Cokie Demaia et Jean-François Maenner. (…) Cathie Biasin, metteur en scène : « j'ai travaillé dans la chanson, le théâtre, je travaille dans le mouvement et ça me plaisait d'imaginer une espèce d'art total, sans cloisonnements, un spectacle où il y ait à voir et à entendre, à comprendre» . Voici donc cinq personnages débarquant dans l'obscurité scénique avec une simple torche, cinq voyageurs dont «le caractère se lit sur leur costume», de star en danseuse étoile, de syndicaliste en chef d'orchestre ou en marin ... Isabelle Morelli signe les arrangements musicaux et tient les claviers et le banjo, les autres la relayant ici et là, au trombone, à l'accordéon et au kazoo. « C'est un vrai mélange d'univers très différents , raconte-t-elle, près de trente morceaux dont de très courts de moins d'une minute (…) et deux musiques que j'ai composées, l'une sur un texte de Rudyard Kipling, l'autre sur un poème d'Antonio Machado. » C'est ce dernier qui a inspiré le titre du spectacle : Un sillage sur la mer. Une heure et quart de bonheur où priment la musique, le rythme, l'humeur, l'humour, bref l'émotion. Avec, en seconde lecture, des textes magnifiques. (…)

Daniel Pantchenko

Midi Libre
Dans le bon sillage de Catimini
Ce groupe vocal européen est à voir et à écouter illico

Depuis quatre ans qu'ils tournent ensemble, d'escale en escale dans toute la France, les chanteurs de Catimini connaissent leur spectacle sur le bout des doigts. Ce qui ne les empêche pas de continuer à savourer le plaisir d'être embarqués sur le même bateau. Ils sont amarrés jusqu'à samedi soir au théâtre Lakanal avec leur récital mis en scène par Cathie Biasin. Ils débarquent avec leurs bagages comme une bande de copains sur un ferry pour la Corse. Ces cinq Européens font de ce récital très métissé une invitation naturelle au voyage, sur un principe simple. Ils ont sélectionné une vingtaine de chansons célèbres qu'ils ont revisitées sous la direction musicale de l'ébouriffante Isabelle Morelli et qu'ils chantent le plus souvent a capella. Ils ont de fortes personnalités : Stéphanie Liesensfeld, adorable fausse ingénue dans son tutu blanc et ses gros godillots; Cokie Demaia, craquante en routarde décalée; Janneke Muller, échappée d'un casino en robe lamée; Isabelle Morelli, chef d'orchestre à côté de sa baguette et bien sûr Jean-François Maenner très décontracté en marinière et bonnet de marin. Seul garçon du groupe, il ne cherche pas à emballer ses partenaires renversantes. Tantôt point d'ancrage, autour de qui les voyageuses se regroupent, tantôt loup solitaire, sa voix apportant sa mâle vigueur à ce chœur très féminin. Quelques étapes seront inoubliables, comme «Je voudrais voir New York» , à laquelle répond «Je voudrais voir la mer» , déclinée avec quelques intrus inattendus tels que «La mer» . Même traitement réservé à «Love is all» , dans laquelle vient se fourvoyer «All you need is love» , des Beatles. Un voyage bien organisé dans la chanson à voir et à écouter.

M.C.Harant

Midi Libre
«Catimini tient bon le cap au large»

Le quintet vocal est le champion du récital iodé.
Des quatre coins de l'Europe - Allemagne, Hollande, Italie, France -, leurs routes se sont croisées : des routes maritimes au large des côtes du Vieux Continent. Ils étaient artistes, ils le sont toujours, venus du théâtre, de la musique, de la chanson ou de la danse. Ils se sont reconnus, ils se sont trouvés. Depuis 1996, ils ont embarqué sur le même bateau, celui de CATIMINI. En mai 2001, le public montpelliérain découvrait ce groupe au théâtre Lakanal. Une sacrée surprise.

Quatre filles et un garçon, qui n'est même pas le capitaine. Non, leur pacha porte jupon, elle s'appelle Isabelle Morelli. La jeune femme brune fait la navette entre Paris et Montpellier car elle dirige également le groupe vocal féminin Voy'elles.

CATIMINI revisite en douce des refrains célèbres, éculés jusqu'à la corde. Des ritournelles qui parlent de la mer, celle de Trénet ou l'océan qui baigne New York. Réuni depuis 1996, le quintet délivre son message «Love, love is a all» , d'escale en escale. Le plus souvent a capella, les cinq artistes ne dédaignent pas la guitare, le trombone, le bandonéon ou les claviers sur scène, sous la direction de Cathie Biasin. Ces moussaillons toujours en verve adorent se montrer dans des costumes délirants : tutu et gros godillots, robe lamée et lunettes d'instituteur. Pas étonnant dans ces conditions que leur spectacle «Un sillage sur la mer» soit sous-titré «chansons à voir». Le groupe communique une joie venue des quatre coins d'Europe, respire l'air du large, fleure bon l'iode et communique le rire des mouettes. Vocalement et musicalement, ils sont au top. Ils chantent dans toutes les langues : français, italien, anglais et même zoulou. Et peut-être dans des langues connues d'eux seulement. Ils sont amarrés une quinzaine de jours. Il faut les voir avant qu'ils ne quittent le port.

Marie-Christine HARANT

La gazette de Montpellier
Chansons : des tubes a cappella

Ils sont cinq, un garçon et quatre filles, et se sont rencontrés dans une école professionnelle de chansons dans la région parisienne. Sous la houlette de Cathie Biasin, une ex-montpelliéraine, ils ont monté le groupe CATIMINI : ils chantent a cappella des chansons françaises ou pas, que tout le monde connaît par cœur : comme le célèbre «My heart belongs to daddy» de Marilyn Monroe ou «Via con me» de Paolo Conte. « On a choisi des chansons connues parce qu'on s'amuse à les mettre en scène de façon inattendue , explique Isabelle Morelli, chargée d'harmoniser les oeuvres pour le groupe. On ajoute des accessoires et des costumes étranges : par exemple une danseuse en tutu chaussée de godillots ». Un sillage sur la mer est leur premier spectacle et il a fait l'objet d'un premier disque.

Ghislaine Arba-Laffont

L'Hérault du jour
«Voyage en catimini»

Quatre filles et un garçon ont fait le voyage à l'envers, ils viennent de Paris bien décidés à conquérir La Province. Leur spectacle «Un sillage sur la mer» nous entraîne, de textes en musiques, de D. Lavoie à P.Conte, de Kypling à Machado, dans un merveilleux voyage. Du pont d'un bateau aux plages tahitiennes. Un big bazar de frères Jacques en bande à Bazille ? Non, c'est CATIMINI. On chante, on joue de trombone, du piano, de la guitare, de l'accordéon, on joue aussi la comédie. C'est gai, c'est beau, imaginatif. enfin quoi on ne se lasse pas de ces «chansons à voir». Un voyage trop rapide de 25 escales musicales que vous pouvez encore admirer à La Vista.